Chantez mère, et ne criez guère « la guerre »
Chantez mère, là où s’enchante l’éclat de l’air
Là où souffle l’air du vent,
Chantez mais ne chantez de la pluie,
Je voudrais vous offrir un parapluie
Et vous protéger des éclats de nuits et l’orage et ses bruits,
Je voudrais vous donner tout mon appui
Car vous êtes un trésor réparti sur une île du paradis,
Voie que tu fourni à tout être tendant sa main
Hiver, celui de ton passé
Marqué à jamais
Sur ta chair, calcinée
Par le froid, par l’inné
Chantez mère là où chante l’éclat d’hiver
Mon ami l’été veut vous voir manœuvrer,
Rayonner, reluire, rutiler votre générosité,
Activer votre intérieure opulence
Qui de heure en heure s s’abat sans vigilances,
Chantez mère, chantez l’omniprésent
Et en mesure, poursuivez vos saisons
Zr@17.
Chantez mère, là où s’enchante l’éclat de l’air
Là où souffle l’air du vent,
Chantez mais ne chantez de la pluie,
Je voudrais vous offrir un parapluie
Et vous protéger des éclats de nuits et l’orage et ses bruits,
Je voudrais vous donner tout mon appui
Car vous êtes un trésor réparti sur une île du paradis,
Voie que tu fourni à tout être tendant sa main
Hiver, celui de ton passé
Marqué à jamais
Sur ta chair, calcinée
Par le froid, par l’inné
Chantez mère là où chante l’éclat d’hiver
Mon ami l’été veut vous voir manœuvrer,
Rayonner, reluire, rutiler votre générosité,
Activer votre intérieure opulence
Qui de heure en heure s s’abat sans vigilances,
Chantez mère, chantez l’omniprésent
Et en mesure, poursuivez vos saisons
Zr@17.
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